Coco rico

Tu as oublié "passionnément"
Mais gaffe a Jacquot qui va t'apprendre à décliner le verbe d'une tout autre manière, Tartinouille de mes deux coeurs!!!!!!!

Oups ! C'est vrai Marquise, j'ai oublié passionnément. Mais d'après toi avec quoi je peux le faire rimer: féline, sauvagine, coquine ... Si tu peux me conseiller quelque chose pour m'éviter la déclinaison !

Il va falloir trouver autre chose.
Féline, gare aux coups de griffe, sauvagine ne correspond pas au personnage, coquine peut être mal interprété, quoique tu as déjà fait fort avec libertine,
Cherche encore!!!!...

En fait libertin a deux acceptions:
- Initialement le libertin est un libre penseur qui s'affranchit des opinions d'usage, c'est quelqu'un qui a le sens critique (du latin libertinus: esclave qui vient d'être libéré). De ce courant de pensée vient le libertinisme.
- Par extension certains ne se sont pas contentés de se libérer des contraintes imposées par les dogmes pour transgresser la morale conventionnelle et chercher à satisfaire tous leurs désirs, avec tous les excès que cela comporte . De ce courant de pensée vient le libertinage.

Comme ma poésie utilise les syllepses de sens je puis invoquer pour ma défense que lorsque j'écris "libertine" on ne peut pas savoir à quel définition je fais référence. Et comme dans le royaume de France on préfère laisser un coupable en liberté plutôt que de mettre un innocent en prison, le bon roi Jacquot ne peut pas me faire goûter le régime du pain sec et de l'eau dans l'une de ses oubliettes !

Pour les mêmes raisons je peux utiliser l'adjectif "coquine" puisqu'il peut avoir le sens d'espiègle en plus du sens auquel tu penses !

Finalement, le poète peut tout se permettre.

C Q F D !
Et ce qui fut fait de façon magistrale !

monsieur perceval
il est indéniable que vous avez la plume plus facile que la parole.
j'espere et je souhaite que ces propos a mon sujet ne sont que boutades et amusement.
bien cordialement.

COCO,JE CROIS QUE LE PERCEVAL ETANT AVARE EN COMPLIMENTS,IL VAUT MIEUX S EN DELECTER QUAND IL LES BALANCE.
EN FAIT C EST PEUT ETRE UNE INVITATION A FAIRE EQUIPE AVEC TOI POUR UN PROCHAIN CONCOURS,IMPRESSIONNE PAR TON JEU ,POUR LAISSER SOUFFLER UN PEU SES RECENTS/TES PARTENAIRES USE/ES PAR UN DEBUT DE SAISON DEJA BIEN FOURNI?

Boutade, amusement et moquerie

Perceval a écrit:

Elle est un peu mutine,

On la dit beaucoup taquine,

A la folie libertine,

Mais pas du tout cabotine.



Elle, c’est notre rouquine :

La malicieuse Corinne

Qui joue de façon divine

Avec une grâce enfantine.





Bon ! J’ai assez beurré la tartine ?

salut Perceval, maintenant que tu en as fini avec Corinne, peux-tu nous faire une autre rime avec une autre de nos dames ? Voici quelques propositions pour t'aider à démarrer :

en iel : ciel miel fiel réveil caractériel
en âne : liane gentiane panne diane bécane
en rence : balance souffrance carence élégance
en ette : rillettes linguette riflette galette boulette guinguette
en thy : sympathie clafoutis ortie sortie pervertie
en ole : rigole décolle picole frivole vitriol

Salut Oeil de Tigre,
Pour faciliter la tâche, voici quelques mots qui riment avec Cathy : Monarchie, anarchie,tyrannie,hystérie,apoplexie, acrimonie, et autres vacheries, mais on a aussi : cajolerie, sympathie, harmonie, réfléchie, répartie (sens de la), euphorie, déontologie, pédagogie,nostalgie, etc...etc...
Avez-vous remarqué que les mots positifs l'emportent immédiatement sur les négatifs et que je peux vous en pondre deux pages dans la foulée.
Bilan des courses : Il serait beaucoup plus facile décrire un quatrin élogieux que de se masturber l'intellect pour faire le contraire.
A bon entendeur, salut !

Par contre, s'il vous prenait la fantaisie de choisir des rimes correspondant à Catherine, vous trouveriez les mêmes que pour Corinne (et là, ça craint )!
Les plus jolies ayant déjà été utilisées, il ne resterait je le crains pour moi que : bovine, porcine, ovine, couine, fouine, toxine, sardine, vermine, poupine, chopine, clopine,crétine, tantine, taurine, etc... etc...
S'il rest un soupçon de délicatesse au versificateur, il pourrait tout de même retenir : ondine, glycine, colombine, églantine,
On peut toujours rêver!!!!.........

Que nenni, Messire,
Vous entendriez plutôt dire,

Le poète a toujours raison,
Quelle que soit son oraison,

Si sa versalité en incommode,
Les muses s'en accommodent.

Nulle ne saurait renier,
Ce qu'à chacune il peut donner.

Inutile de chercher l'obole,
d'une inutile gaillole.

Chaque pintade Marquisat 1er choix,
Saura se sacrifier comme il se doit.

Perceval a dit :
Ou alors il faudrait que je compose sur quelqu'une qui n'a pas encore pris de licence par exemple, comme ça je ne risquerais pas son refus.
Carabine, mandoline, vitamine, cuisine, églantine, ... Tiens, Il serait pas si tard je me sentirais inspiré ![/size]

tu n'oserais pas ??? tu pourrais te faire lacérer par la féline ( justement elle affûte ses griffes) Aie aie aie !!!!!!

Au secours Marquise ! Ce ne sont pas des muses, mais des furies !
Je tombe de Corinne en Christine !

Perceval a écrit:

Au secours Marquise ! Ce ne sont pas des muses, mais des furies !
Je tombe de Corinne en Christine !

Dis donc, Chevalier Perceval, n'es-tu pas le courageux, le brave chevalier sans peur et sans reproche ? Faut-il qu'au moindre problème, tu ailles te réfugier sous les jupons de ta Marquise préférée ? Allons, un peu de courage, affrontes la situation. N'y aurait-il donc rien dans le pantalon ? Tu n'as pas à avoir peur, le haubert est là pour te protéger

Haubert, gambeson, surcot, je prendrai tous les artifices du chevalier avant de paraître. Mais mon plus grand secours je le trouverai auprès de ma suzeraine qui m'a toujours prodigué soin, attention et protection.

Il y a erreur sur la personne. Le chevalier sans peur et sans reproche était Bayard et non Perceval. Le premier ne pensait qu'à guerroyer, le second est tout en poésie et en délicatesse. Au pays des fées et de merlin l'enchanteur, c'est la moindre des choses.
Rien d'étonnant donc qu'il se réfugie auprès de sa suzeraine pour chercher protection lorsque le vent tourne et qu'il essuie la tempête qu'il a lui-même soulevée.

La Marquise a écrit:

Il y a erreur sur la personne. Le chevalier sans peur et sans reproche était Bayard et non Perceval. Le premier ne pensait qu'à guerroyer, le second est tout en poésie et en délicatesse. Au pays des fées et de merlin l'enchanteur, c'est la moindre des choses.
Rien d'étonnant donc qu'il se réfugie auprès de sa suzeraine pour chercher protection lorsque le vent tourne et qu'il essuie la tempête qu'il a lui-même soulevée.

C'est exact, il y a erreur sur le chevalier (mais erreur volontaire), car tout chevalier se doit d'être brave sans peur et sans reproche, Perceval ne dérogera pas à la règle. C'est comme ça et pas autrement. Pour lui donner un peu plus de courage (et ainsi te laisser respirer), il n'a qu'à demander à Merlin de lui concocter une de ses potions dont il a le secret car le pauvre Perceval, avec tout cet accoutrement, il n'arrivera même plus à balancer son bras (ça serait dommage) En plus, on annonce de gros orages pour le week-end et qui dit orage dit flotte ; ça pourrait gripper au niveau des jointures

C'est vrai, je reconnais mes tords: c'est moi qui ai ouvert l'outre que m'avait confié Eole et qui serai seul responsable de la tempête à venir.
Mais après m'être réfugié sous les jupons de ma protectrice, j'ai recouvré tout mon courage et me sens prêt à affronter les éléments !

Et bien, c'était réussi !
Il eut été moins dangereux de vous confier la boîte de Pandore !
Mesurez chevalier, la chance que vous avez de servir une Marquise au cotillon hospitalier.
Si par un malheureux concours de circonstance, le destin vous avait amené à prêter votre bras valeureux pour défendre la banière d'Oeil de Tigre, elle vous aurait laissé rouiller dans votre armure, comme une vieille boîte de sardines (...), sans même vous fournir un tube de dégrippant, voire de vaseline.
Songez au désastre auquel notre royaume a échappé :
"Chevalier mouillu, Chevalier foutu" !
A l'avenir, calmez votre fougue, soyez plus circonspect !

My dear white knight with shinning armor,

Voyez Messire, quelle bonne intuition,
Vous eûtes de vous réfugier en mon giron.

Vous fîtes bien de ne point douter,
Qu'asile et bons soins je vous saurais donner.

S'il eut fallu, par bonté d'âme,
De mes propres mains, j'eus fourbi vos armes,

Pour de la rouille effacer l'inéluctable outrage,
Bien que ma nature rechignât au ménage.

Soyez remercié de votre reconnaissance,
Votre indéfectible fidélité en est ma récompense.

God bless ours colours !
Your bright and gracious Marchioness,